NOTRE VOLONTÉ

Accompagner les parents d’enfants différents dans la préparation de leur testament et mandat de protection en vue de protéger leur avenir avec rigueur et bienveillance.

Nous offrons exclusivement nos services pour les proches d'enfants mineurs ou majeurs vivant avec une déficience intellectuelle, un trouble du spectre de l'autisme ou une situation de polyhandicap.

Comme parent d’un enfant différent, il est primordial que votre testament soit bien adapté à votre réalité et vos volontés. Juridiquement, des règles doivent être respectées afin que votre enfant et les actifs éventuels soient protégés.

Il existe des solutions.

PLANIFIER L’APRÈS, C’EST ENLEVER UN POIDS DE VOS ÉPAULES DÈS À PRÉSENT.

Me Joanie Lalonde-Piecharski, notaire engagée

Fondatrice de Enfant différent - notaires engagées

Je suis sensible à votre réalité, car j'ai côtoyé des enfants comme les vôtres toute ma vie et j'ai accompagné des milliers de parents afin de leur permettre d'apaiser leurs craintes face à l'avenir.

Toutes les notaires de notre équipe sont touchées et sensibilisées par votre réalité. C’est pourquoi nos services sont adaptés à vous et à votre réalité.

Notre approche

྾ BIENVEILLANCE ET SENSIBILITÉ

Notre approche est humaine, calme et teintée d’empathie tout en conservant un grand professionnalisme.


྾ ÉCOUTE ET COMPRÉHENSION

Nous voulons simplifier le tout et vous expliquer simplement les notions parfois complexes.

྾ APPRÉCIATION DE LA DIFFÉRENCE

Nous connaissons votre réalité, car les notaires de notre équipe ont côtoyé des enfants comme les vôtres et nous avons accompagné des milliers de parents afin de leur permettre d’apaiser leurs craintes face à l’avenir.

྾ EXPERTISE ET RIGUEUR

Nos testaments sont rédigés dans un grand souci de précision et de personnalisation. Le tout nécessite une expertise spécialisée que nous avons pu développer au fil des années.

 «Envisager le handicap sous l’angle des droits de l’homme requiert des États et de tous les secteurs de la société qu’ils évoluent dans leur façon de penser et d’agir de sorte que les personnes handicapées ne soient plus considérées comme les bénéficiaires d’une œuvre de bienfaisance ou comme l’objet des décisions prises par d’autres, mais bien comme des détenteurs de droits.»

Nations Unies, Haut-Commissariat aux droits de l’homme